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Le site de Dominique, un amateur passionné

 

1-1-1-5 : Le nécessaire et l'accessoire

Mise à jour : 21 janvier 2023, Antidote 11.

 

Préambule :

Il y a deux grandes approches dans la composition d'une chaîne hi-fi :

  • Privilégier la source, parce qu'une info qui manque dès le départ ne sera jamais ajoutée par la suite.
  • Privilégier les enceintes parce que c'est à ce niveau que sont les plus gros problèmes de restitution.

Je fais partie de ceux qui défendent la deuxième approche, mais avec des arguments qui tiennent un peu plus la route qu'une simple affirmation sans démonstration.

Je le fais dans le cadre d'une écoute hi-fi, en définissant parfaitement ce que j'entends par là.
Mon avis est ce qu'il est, dérangeant pour beaucoup.
C'est parce que j'ai aussi défini ce que j'entendais par hi-fi que je peux tenir les propos ci-dessous.
Une autre définition du terme hi-fi peut amener à d'autres conclusions, mais je considérerai cette autre définition comme fausse pour moi.

 

Les interfaces :

Entre le CD et vos oreilles, il y a plusieurs interfaces ou la nature de l'information transmise change du tout au tout, même si cela reste de la musique au final :

  • La lecture du CD :
    Lors de la lecture du CD, l'information passe de cuvettes pressées dans le support du CD à une suite de 0 et de 1 dans le lecteur CD ou dans le PC.
    L'informatique nous démontre tous les jours que cette interface est parfaitement maîtrisée, à condition de ne pas faire de la lecture en temps réel comme dans un lecteur de CD, mais de faire une lecture informatique capable de repasser plusieurs fois sur le même passage si nécessaire, pour avoir une lecture rigoureusement sans erreur.
    Faut-il rappeler qu'en informatique la moindre erreur sur 1 bit entraîne le non-fonctionnement du programme ? La lecture informatique d'un CD est parfaitement maîtrisée, la lecture temps réel beaucoup moins.
    A ma connaissance aucun lecteur de CD ne propose une lecture de type informatique.
    Il faut passer à la musique dématérialisée associée à un bon logiciel, j'utilise Exact Audio Copy, pour ne pas avoir de problème au niveau de cette interface.
     
  • Le transport des informations numérique jusqu'au DAC :
    L'informatique nous démontre tous les jours que ce transport d'information se fait sans erreur.
    Mais la liaison S/PDIF (optique ou par câble) entre appareils hi-fi utilise un standard autre que ceux de l'informatique : Si un paquet de bits est reçu avec une erreur, il n'est pas renvoyé.
    La liaison la plus courante est le S/PDIF avec un câble coaxial pour de courte distance, 2 ou 3 m maximum.
    Cette liaison fonctionne avec une impédance de 75 Ohms, câble et prises comprises.
    La prise 75 Ohms n'est pas la RCA de vos appareils, mais la prise BNC.
    C'est un scandale de ne pas voir de prise BNC sur les appareils qui se prétendent haut de gamme.
    Que vous vous appeliez NAGRA ou ACCUPHASE ne change rien à ce point de vue, honte à vous...
    La liaison S/PDIF optique permet de grande distance entre les appareils. Je n'ai eu aucun souci avec une fibre optique de 20 m.
    Il existe aussi une liaison AES/EBU sur prise XLR avec un câble de 110 Ohms d'impédance. Cette liaison est, comme la fibre optique, capable de grande distance entre les appareils.
    Certains DAC venu du monde PRO, tel que le RME ADI-2 DAC FS ou RME DIGIFACE USB, utilisent un protocole informatique sans erreur entre le PC et le DAC, seule solution pour transporter 8 ou 32 canaux en même temps et dans les deux sens : le monde hi-fi est totalement à la rue, et trop cher pour la mauvaise solution technique retenue...
     
  • Le DAC :
    C'est le convertisseur numérique / analogique.
    Ce n'est pas parce que le DAC contient une puce capable de décoder un signal 24 bits à 192 kHz (et 384 ou 768 kHz aujourd'hui en haut de gamme), qu'il fait le décodage dans ce format lorsqu'il reçoit un signal en 16 bits à 44.1 kHz qui vient du CD.
    Certains DAC font un upsampling, une conversion de format numérique, pour décoder un signal de format plus élevé que celui qui arrive à son entrée. La doc le précise explicitement. Si ce n'est pas dit, ce n'est pas fait. Si c'est fait, ce n'est pas obligatoirement mieux. Écoutez !!!
    Le problème des DAC est la synchronisation sur le signal numérique qui lui arrive. N'aggravez pas les choses avec une mauvaise liaison numérique.
    La qualité à l'écoute d'un DAC ne se juge pas aux puces de dernière génération qui sont utilisées. A prix comparable des puces plus anciennes de 15 ans font parfois mieux. Écoutez !!!
     
  • Les électroniques analogiques :
    Ce sont les préamplis et amplificateurs. Ces appareils sont connus depuis des années et ne posent pas de soucis particuliers.
    Il n'y a pas de corrélation entre les mesures objectives et le rendu sonore perçu à l'écoute. C'est la porte ouverte à tous les avis sur tel ou tel appareil.
    Seule une comparaison en double aveugle permet de faire le tri entre une différence audible et une différence suggérée.
    La comparaison en double aveugle est le tabou de bien des audiophiles qui ne veulent pas admettre qu'un appareil meilleur dans 50% des cas n'est pas meilleur que le 2eme appareil qui sert de comparaison...
     
  • Les liaisons analogiques :
    Les différences ne sont pas mesurables, pourquoi y attacher la moindre importance ?
    Je ne comprends pas le prix des câbles compte tenu des différences non mesurables, je ne comprends pas le peu de jugeote des acheteurs pour mettre autant d'argent dans un composant aussi peu quantifiable objectivement.
     
  • Les enceintes :
    Une enceinte convertit un signal électrique en un signal acoustique, la vibration de l'air, qui porte le son vers nos oreilles.
    Cette conversion est assortie de défauts connus telles la linéarité en fréquence ou la distorsion, et de défauts délibérément passés sous silence telles la linéarité de la phase acoustique et du délai de groupe ou la réponse sur une impulsion.
     
  • La pièce d'écoute :
    C'est l'endroit où sont placées les enceintes et dans laquelle vous écoutez la musique.
    La pièce d'écoute apporte plein de défauts à l'écoute, parce que l'interaction entre la pièce et les enceintes n'est pas assez prise en compte dans la chaîne complète.
    Tout le monde n'a pas l'envie et la possibilité de transformer son salon en studio.
    Ce n'est pas une raison pour ne pas appliquer d'autres solutions de correction.
    Un mieux, un plus, est toujours bon à prendre même si ce n'est pas idéal.
     
  • Vos oreilles :
    Tout le monde n'attend pas la même chose de l'écoute de sa chaîne : c'est le droit de chacun de vouloir un son particulier.
    Mais il faut assumer ses choix, et utiliser les bons outils pour avoir le son particulier souhaité.
    Enfin il ne faut pas appeler hi-fi un son qui n'est pas rigoureusement fidèle au message sonore enregistré sur le disque.

 

Analyse des interfaces :

Dans le domaine numérique, et pour avoir exactement ce qu'il y a sur le CD, nous adopterons la musique dématérialisée, en ripant les CD avec Exact Audio Copy et son mode "Test & Copy Selected Tracks".
Nous utiliserons une plateforme PC sous Windows, pour y inclure les logiciels de correction gratuits nécessaires pour le domaine acoustique.
Nous prendrons les précautions pour sortir proprement le flux numérique du PC sans avoir de perturbation avec le système d'exploitation de celui-ci.
Nous choisirons une connectique avec le DAC qui respecte les normes de la liaison choisie : Pas de S/PDIF sur RCA, ou alors avec le seul câble du marché qui garantit l'impédance de 75 Ohms.
Nous ne céderons pas aux folies Audiophile : Il est préférable de choisir un DAC issu du monde professionnel chez qui qualité ne rime pas avec délire total en termes de prix.
En faisant ainsi, il n'y a pas à se prendre la tête sur cette partie numérique de la chaîne, le numérique est très bien maîtrisé et l'informatique nous le prouve tous les jours.

Le domaine analogique ne pose pas de problème particulier, depuis les années 70 il y a d'excellentes réalisations.
Je ne suis pas sûr que tous les progrès annoncés sur les appareils d'aujourd'hui soient réellement audibles par rapport aux bons appareils d'il y a 50 ans.
Là encore pour ne pas dépenser des fortunes dans les délires audiophiles, il convient de regarder le matériel professionnel, sauf si la finition est un critère qui passe avant tout pour vous, dans ce cas, assumez vos choix...
Pour les câbles je serais encore plus clair, arrêtons la connerie... Faites les tests d'écoute en double aveugle, et si vous n'avez pas au moins 75% de reconnaissance du câble envisagé, ne l'achetez pas.
Je vous rappelle que les différences entre câbles ne sont pas mesurables, et que nous sommes en hi-fi : la fidélité par rapport au son enregistré.

Le domaine acoustique est celui qui doit retenir toute notre attention.
Prenons la réponse sur une impulsion, composée d'un fondamental et d'harmoniques.
Les différentes composantes doivent arriver dans le bon ordre à vos oreilles.
Or 99% des enceintes du commerce (ou DIY malheureusement) n'ont pas de mise en phase acoustique, et ont les aigus qui arrivent avant le médium qui lui-même arrive avant le grave.
Où est la fidélité ?
Il y a aussi la phase acoustique qui varie fortement du grave à l'aigu.
Comment peut-on parler de hi-fi avec de telle variation ?
Il y a enfin l'interaction de la pièce qui perturbe fortement la réponse des enceintes quand elles arrivent chez vous.
Là encore il faut corriger, ce que ne font pas les audiophiles au nom d'un dogme pas toujours justifié, ou d'une incompétence quant à la façon de bien le faire.

Globalement à quoi sert-il de pinailler des différences infimes entre deux câbles ou deux électroniques si c'est pour laisser passer des défauts énormes dans le domaine acoustique ?
Nous parlons haute fidélité.
Si une mesure objective sur une impulsion, sur la phase acoustique, sur le délai de groupe des enceintes placées dans la pièce n'est pas bonne, vous n'aurez jamais la hi-fi souhaitée.
Or cette non-fidélité c'est ce que vous avez presque à coup sûr avec votre chaîne, quels que soient les dires des fabricants et vendeurs, et ce sont des mesures objectives qui nous le montrent.
Entre le subjectif des différences entre électroniques ou entre les câbles, et les mesures objectives, mon choix est de mettre l'argent pour avoir un bon résultat objectif, et de mettre le minimum dans le subjectif : Au lieu de mettre 1000 € dans un ampli, mettez simplement 600 €, et le reste dans le système de mesure qui vous permettra de voir ou son réellement les problèmes, pour pouvoir corriger avec les logiciels appropriés.

 

L'auditeur :

Ce n'est pas un hasard si je le traite à part.
Je vous ai parlé dans le chapitre hi-fi de cet auditeur qui préférait le son de sa chaîne à celui du concert acoustique.
Le problème de culture musicale est flagrant.
Pour l'histoire, il est retourné plusieurs fois au concert depuis, en ayant écouté sur CD les œuvres programmées, et reconnais aujourd'hui que c'est la chaîne qui avait un souci.
Combien de jeunes ne connaissent la musique qu'à partir de ce qu'ils entendent en boîte de nuit ?
Leurs choix en termes de chaînes quelques années plus tard seront étranges.

Vous avez parfaitement le droit de vouloir un son particulier.
Mais faut-il pour cela chercher dans le matériel annoncé comme hi-fi, celui qui vous donnera la non-fidélité souhaitée ?
Le label "haute fidélité" se paye, vous n'en voulez pas puisque vous voulez un son particulier, pourquoi payer ce que vous n'utilisez pas ?
Il est possible de poser la question autrement, sur qui sont ces fabricants qui nous trompent délibérément avec du matériel qui donne un son aussi peu fidèle, et vendu au prix fort ?

Vous voulez un son particulier ?
C'est votre droit le plus grand si vous assumez vos choix.
Ajoutez un égaliseur, modifiez le son à votre goût.
Mais ne venez pas nous faire la morale sur la sonorité de ces appareils non fidèles, sur les mariages entre appareils pour obtenir ce son particulier et non fidèle.

 

Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit :

Je n'ai jamais dit qu'il n'y avait pas de différences audibles entre deux électroniques, entre plusieurs câbles, entre les DAC.
Il y en a, mais :

  • Ces différences sont beaucoup moins importantes que celles apportées par une bonne réponse sur une impulsion d'une enceinte, sur une courbe de réponse plate en amplitude des enceintes dans votre pièce, sur une courbe de la phase acoustique plate.
     
  • Le prix demandé pour une petite différence entre deux électroniques, deux câbles, deux DAC sera beaucoup plus important que ce qu'il faut faire pour corriger les paramètres acoustiques qui eux sont mesurables.

Si, comme moi, votre budget hi-fi n'est pas extensible à l'infini, vous allez vous rendre compte qu'il est préférable de mettre l'argent dans le matériel de mesure et les logiciels gratuits de correction.
Il est satisfaisant de pouvoir se dire que l'écoute s'est améliorée de façon importante, sans que la description de la chaîne ne change, parce que ce qui est mis dans les logiciels est spécifique à l'installation et à la pièce d'écoute.

J'ai mis comme titre de ce chapitre : "Le nécessaire et l'accessoire".
Pinailler les électroniques et les câbles est accessoires.
Avoir de bons résultats acoustiques mesurés de vos enceintes dans votre pièce n'est pas que nécessaire, c'est une condition indispensable et non négociable pour parler haute fidélité, c'est nécessaire...

 

Comment faire en pratique :

Si vos enceintes, comme la plupart des enceintes du commerce, ont le grave, le médium et le tweeter sur la même face avant, vous n'aurez jamais une bonne réponse sur une impulsion.
Vous pouvez cependant vous en approcher en inclinant l'enceinte vers l'arrière comme indiqué dans le chapitre sur la mise en phase.
Cette solution est tellement simple que je me demande pourquoi elle n'est pas plus utilisée par les audiophiles, surtout que cela ne coûte rien ou presque.
La mesure du délai de groupe vous permet de vérifier à la mesure que l'inclinaison est bonne.
Dans le cas d'une enceinte 3 voies, vous ne serez pas bon sur les 3 voies ensembles.
Réglez comme il faut le médium avec le tweeter, et faites l'impasse sur le grave avec le médium qui demanderont probablement une inclinaison irréaliste.

Certaines enceintes ont une face avant très étroite, avec le grave placé sur le côté.
Dans ce cas je ne propose pas de solution, carton rouge pour le fabricant, carton rouge pour l'acheteur qui n'a vraiment pas d'oreille.

Pour mesurer la réponse en amplitude et phase acoustique des enceintes dans la pièce, un système de mesure est indispensable.
Vous n'arriverez pas à corriger de façon efficace, si vous ne mesurez pas le résultat.
Le chapitre mesure vous expliquera le matériel dont vous avez besoin, et comment procéder.
Vous avez plus à gagner à mettre 300 € dans le système de mesure, que dépenser la même somme dans les câbles ou dans une électronique plus performante.
Un sonomètre ne convient pas, puisqu'il faut mesurer plusieurs choses, amplitude, phase, délai de groupe.

La partie PC avec musique dématérialisée et logiciels de correction est décrite brique par brique pour plus de clarté.

  • Foobar, JRiver, sont des logiciels de lecture de musique dématérialisée pour un PC sous Windows.
     
  • Resampleur SoX pour Foobar permet de faire l'upsampling dans un format numérique plus élevé.
    Vous savez, ce que ne fait pas votre DAC acheté si cher, Resampleur SoX le fait gratuitement.
    Les meilleurs résultats à l'écoute sont obtenus en laissant les fichiers dans leur format numérique d'origine.
    JRiver sait choisir tout seul le fichier de correction qui correspond au format numérique qui est lu.
    Foobar ne sait pas choisir tout seul le bon format numérique. Un changement à la main est facile, si vous êtes le seul utilisateur.
     
  • Convolver pour Foobar, ou ConvolverVST pour VSTHost, calculeront en temps réel la correction en amplitude et phase acoustique du signal numérique qui est lu.
    JRiver à l'équivalent de Convolver intégré d'origine, rien à installer en plus.
     
  • RePhase calcule les fichiers de correction utilisés dans Convolver ou ConvolverVST.
    Idéalement, il faut un fichier de correction différent pour les canaux D et G, et un fichier par format numérique, 44100 Hz, 48000 Hz, 88200 Hz, 96000 Hz, 176400 Hz, 192000 Hz.
    Les fichiers D et G dans un format numérique sont reliés entre eux par un fichier de configuration pour JRiver.
    Les fichiers D et G dans un format numérique doivent être fusionnés en un fichier stéréo avec Audacity pour Foobar.
     
  • Le routage vous explique l'architecture que doit avoir la partie numérique de votre chaîne, suivant que vous avez une ou plusieurs sources, et si vous voulez mesurer à travers les corrections.

Ma recommandation minimale est d'utiliser Convolver, sans Resampleur SoX, dans Foobar, parce qu'il est gratuit.
Pour environ 50 € de plus, JRiver payant est plus souple à l'usage et meilleur à l'écoute.

Ce ne sont pas des solutions clefs en main, souhaitées par certains.
Des fabricants vous proposent ces solutions au prix fort dans un habillage soigné, avec une relative automatisation des réglages.
Dites-vous bien que si vous arrivez à mesurer les défauts de votre chaîne actuelle placée dans votre pièce, vous arriverez à corriger.

 

Que doit-on voir ?

Je vous propose deux séries d'images réalisées avec ARTA sur mon système à 3 voies.
Ce sont les réponses en impulsion, amplitude, phase et délai de groupe dans deux cas :

  • Sans aucune correction.
  • Avec les corrections réalisées à la mesure.

 

Sans aucune correction :

 

Avec les corrections réalisées à la mesure :

Mon système n'est pas totalement au point, les mesures ne sont pas parfaites, mais bien meilleures que sans correction du tout.
Ordre de mise au point : Délai de groupe, phase acoustique, amplitude.

Impulsion de mesure
 
Courbe de réponse
 
Mesure de la phase acoustique
 
Délai de groupe

 

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