Page affichée à 07:24:09
jeudi 21 novembre 2024

Ce site n'utilise pas de cookie
logo7 Dôme acoustique Compteur pour tout le site : 16 442 051
Nombre actuel de lecteurs : 379

J'ai besoin d'aide pour les menus déroulants
Faire
un don
par
PayPal
Le site de Dominique, un amateur passionné

 

1-1-5-5 : Courbes ISO 2969 X

Mise à jour : 31 mars 2023, Antimode 11.

 

Remarque préalable :

La solution de réglage proposée ci-dessous est celle que j'avais retenue sur mon système, après plusieurs écoutes au concert (dans plusieurs salles différentes et à plusieurs emplacements dans la salle), mesures, et comparaisons de solutions.
De nombreux forumeurs m'ont soutenu, avec force arguments, que ce n'était pas comme cela qu'il fallait procéder.
J'ai tout de même le droit d'avoir préféré cette solution, et de m'en servir pour définir ma courbe cible...

Lecteurs, vous prendrez ce qui suit comme étant une solution, une piste éventuellement à explorer et à essayer, pour ne la retenir que si vous en êtes convaincu à l'écoute.
Permettez-moi de vous conseiller d'aller au concert acoustique, avant de remettre en cause la fidélité avec cette courbe.

Sur un forum audiophile, une question portait sur la matité réaliste du son, par opposition à la trop grande clarté.
Je suis sûr que ma courbe cible actuelle lui apportera la réponse attendue.
Je n'irai pas répondre sur le forum en question, mais Google fera le travail lors d'une recherche.

Vous comprendrez, par les propos ci-dessus, que j'ai défendus avec passion, la courbe ISO 2969X
Depuis j'ai trouvé mieux à l'écoute, une courbe de réponse droite, régulièrement descendante du grave à l'aigu, ma courbe cible.
Les droites ne sont pas obligatoirement horizontales !!!

Lisez ce qui suit comme étant une démarche, une étape, vers plus de qualité sonore, ce n'est plus ma solution.

 

Courbe ISO 2969 X :

La vérité du son est celle écoutée en direct au concert, car c'est de la musique non amplifiée et donc non trafiquée.
La fanfare dans la rue donne aussi un son vrai, écouté en direct.
Il y a certainement d'autres références.

Amateur d'opéras et de musiques symphoniques, je vais au concert.
Puis à mon retour j'écoute la même œuvre sur ma chaîne, dans l'espoir d'entendre la même chose.
Lorsque ma chaîne me donne une sensation sonore montant dans l'aigu, alors qu'elle est réglée à la mesure parfaitement linéaire entre 40 et 16000 Hz, il y a un souci qui semble insoluble.

Les uns diront qu'il manque un SUB, et s'empresseront de le rajouter.
Je ne suis pas certain qu'ils régleront le problème ainsi, les expériences des uns ne sont pas toujours adoptées par les autres.

Mes enceintes descendent jusqu'à 40 Hz, la loi des 400 000 nous dit qu'elles ne devraient pas monter au-dessus de 10 000 Hz.
J'ai donc essayé de limiter la bande passante dans les aigus.
Je dispose de deux outils pour cela, un égaliseur et un filtre actif qui y arrive tous les deux.

En parallèle à la loi des 400 000, j'ai tenu à vérifier le rendu subjectif de la courbe ISO 2969 X.
La version 2015 ajoute une pente plus forte dans les aigus au-dessus de 10000 Hz, avec le 20000 Hz à -13 dB, et une atténuation du grave en dessous de 50 Hz.

La courbe ISO 2969X, version 2015

 

Courbe que j'ai également trouvée avec une atténuation du grave page 75 de ce long PDF.
Beaucoup de systèmes d'enceintes apprécieront la légère atténuation du grave...
Cette courbe se retrouve aussi dans cet autre site, avec une variante pour les petites pièces.

image839.jpg

 

Enfin il existe une courbe pour les petits volumes de moins de 150 m3, qui ressemble aux autres, mais avec une atténuation plus faible dans les aigus, 5 dB à 20000 Hz au lieu de 10 dB à 20000 Hz pour les versions d'avant 2015.
Cette courbe a une variante utilisée par certains studios, plate jusque 4000 Hz et une pente de 3 dB/octave au-dessus.

small x-curve

 

J'ai donc mesuré, réglé et enregistré dans l'égaliseur et le filtre actif 5 courbes de réponse.
Attention l'échelle est très dilatée, 18 dB, alors que la revue du son affiche avec 50 dB : pour pouvoir travailler et régler, il faut y voir...

  • Une courbe linéaire de 40 à 16000 Hz. Courbe verte.
  • Une courbe genre ISO 2969 X, avec 5 dB d'atténuation à 20000 Hz. Courbe violette.
  • Une courbe genre ISO 2969 X, avec 8 dB d'atténuation à 20000 Hz. Courbe jaune.
  • Une courbe ISO 2969 X, avec 10 dB d'atténuation à 20000 Hz. Courbe orange.
  • Une courbe réglée subjectivement avec le filtre actif. Courbe bleue, mesurée 24 H plus tard.
    Cette courbe part de la courbe linéaire, auquel j'ai ajouté un filtre à 12 dB à 9060 Hz.

Ne figure pas l'essai d'atténuation dans les graves comme sur la 2e courbe, que j'ai essayé et que je n'ai pas retenu.

image837.jpg

 

Subjectivement, c'est la courbe orange avec 10 dB d'atténuation qui me plaît le plus et qui résiste aux essais dans le temps.
La courbe jaune n'est pas loin derrière.
La courbe bleue fait illusion à court terme, mais ne résiste pas longtemps.
Je vous rappelle ce que j'ai dit en début de chapitre, c'est mon avis, pas forcément le vôtre.

Il y a aussi une énorme interrogation :
Les revues et constructeurs nous montrent des courbes bien linéaires jusqu'à 20000 Hz.
Subjectivement je préfère une belle atténuation dans les aigus.
Je me base sur l'écoute au concert pour cela.
Qui a raison, qui a tord ???

Tout le monde à raison, tout le monde à tort !!!
À courte distance, la réponse est linéaire.
Avec la distance, l'atténuation est de plus en plus importante.
La difficulté est simplement d'avoir l'atténuation voulue à la distance voulue.

Mesure de mon système à 4 m, après réglage de l'égaliseur. J'ai simplement rapproché le micro à 50 cm des enceintes.
petoin-4m.jpg petoin-proche.jpg

 

Avec ces mesures, vous constatez que l'atténuation avec la distance est indiscutable.
Il y a deux écoles pour les réglages des enceintes, ceux qui vous disent de mesurer à 1 m environ des enceintes, et ceux qui comme moi vous disent de mesurer au point d'écoute.
Là encore, tout le monde à raison...

  • Vous commencerez les mesures au point d'écoute, pour régler la pente de 3 dB par octave au-dessus de 2000 Hz.
    2000 Hz à 0 dB, 20000 Hz à -10 dB.
  • Une fois cette courbe obtenue, vous rapprocherez le micro de l'enceinte pour obtenir une courbe de réponse plate.
    La distance ne sera pas de 1 m, ce sera la valeur de vos enceintes dans votre pièce. Chez moi c'est 51 cm à ±2 cm.
  • Enfin à courte distance vous réglez la courbe de réponse de vos enceintes bien plate.

La seule différence avec les conseils que vous lisez partout, c'est que la distance micro / enceinte pour le réglage final n'est pas forcément de 1 m, c'est la distance qui permet d'obtenir la courbe ISO 2969 X au point d'écoute, la subtilité est de taille...

Avec le temps j'ai testé et évalué une autre méthode de mesures / réglages.
Je ne place le micro qu'au point d'écoute parce qu'il faut bien 4 m de distance pour mesurer un système à 3 voies sans perturber la mise en phase.
Je règle la courbe de réponse droite et horizontale au point d'écoute.
Puis j'ajoute la courbe cible, ISO 2669X il y a quelques années, ma courbe cible aujourd'hui.
Je vous invite à ne pas écouter les timbres de la musique, parce que vous ne les connaissez pas exactement, et à vous concentrer exclusivement sur la taille de l'image sonore.
Sur ces critères je pense que vous trouverez le réglage avec la courbe ISO 2969 X, plus encore avec ma courbe cible, supérieure à un réglage linéaire mesuré au point d'écoute.

 

La bulle et la mesure MMM :

Mesure MMM :

En 2021, la bulle n'a plus aucun intérêt :
La mesure de la phase acoustique est totalement inutilisable quand elle est mesurée au point d'écoute.
Plusieurs mesures, et le traitement qui va avec, sont long.
Je pratique aujourd'hui la mesure MMM.

La mesure MMM est une mesure en bruit rose, avec un temps d'intégration assez long, 30 s, 1 minute, 2 minutes, plus si vous le souhaitez.
Quand vous lancez la mesure, le micro est sur un pied au point d'écoute.
Vous décrochez le micro du pied pour le déplacer doucement à la main autour du point d'écoute, soit pour faire une sphère, soit pour faire un parallélépipède rectangle, ou un patatoïde de révolution !!!
Les déplacements finis, vous remettez le micro sur son pied, et vous arrêtez la mesure.

J'ai déplacé le micro 50 cm en avant et en arrière du point d'écoute, 50 cm au-dessus et au-dessous de la hauteur des oreilles, 100 cm à droite et à gauche du point d'écoute, soit 27 points de passage au total, avec toutes les positions intermédiaires, en quelques 2 mn.
J'évite tout de même la position en arrière et 50 cm en dessous du point d'écoute, parce que le fauteuil est devant !!!
Le résultat à l'écoute après correction est meilleur que les autres solutions...

 

La bulle :

En mai 2015 j'avais refait d'autres tests, et n'avais jamais réussi à avoir une écoute correcte sans faire le réglage avec le micro placé au point d'écoute.
Fin 2016 j'avais encore fait des comparaisons entre le résultat obtenu à partir des mesures à courte distance, et celui obtenu au point d'écoute, et j'ai encore retenu la position au point d'écoute.
C'est un désaveu catégorique vis-à-vis de ceux qui préconisent une mesure proche pour être indépendants de la salle d'écoute, nous écoutons dans la salle d'écoute, elle doit être prise en compte dans la mesure.
Le seul compromis que j'accepte, et qui est proposé par un certain nombre de logiciels du commerce, est da faire le réglage avec une moyenne de plusieurs mesures, par exemple 7 :

  • Micro au point d'écoute, au centre de la bulle : C.
  • Micro à 50 cm à droite et à gauche du point d'écoute : D et G.
  • Micro à 50 cm au-dessus et en dessous du point d'écoute : H et B.
  • Micro à 50 cm en avant et en arrière du point d'écoute : AV et AR.

La méthode est donc de définir une bulle par 7 points, et de travailler sur la moyenne de ces 7 points de mesure pour définir la correction à utiliser.
Avec une bulle de 1 m de diamètre, vous arriverez facilement à vous placer à l'intérieur pour écouter votre installation, et une petite variation de la position de la tête n'aura plus d'importance, vous pouvez battre la mesure de la tête !!!
D'autre part, certains défauts pointus à une position du micro sont annulés avec plusieurs points de mesure.
Il n'y a pas de méthode parfaite et idéale, essayons simplement de bien faire une méthode imparfaite...
Et l'argument de ne rien faire parce qu'il n'y a pas de méthode parfaite est vraiment nullissime.
J'accepte très bien votre souhait de ne pas le faire et c'est votre droit le plus grand, je combats avec véhémence les arguments foireux...

7 micros dans une bulle

 

Vous pouvez lire ici ou là que certains conseillent un cube avec 9 points de mesure et non pas une sphère avec 7 points.
Je préfère de loin être dans ma bulle que d'avoir une tête au carré !!!
L'idée est la même, la méthode est la même, nous sommes d'accord entre nous, et vous choisirez ce qui vous semble le plus simple pour vous.
Certains sont allés jusqu'à faire 16 mesures, vous avez deux images un peu plus bas dans le chapitre.

Calculer le niveau moyen de plusieurs mesures n'est pas aussi simple que cela.
Une mesure à une fréquence donnée, c'est une amplitude en dB, et une phase en °.
Si vous devez faire la moyenne entre 70 dB avec une phase de 90° et 70 dB avec une phase de -90°, vous obtenez 0 dB...
D'autre part, la moyenne ne doit pas se faire sur les dB mais sur 10dB/20.

 

Méthode mathématique incontestable.

Vous devez calculer réel = 10dB/20*COS(phase), imaginaire = 10dB/20*SIN(phase), faire une moyenne sur réel et une autre sur imaginaire.
Puis vous recalculez dB = 20*LOG10(racine(moyenne_réel2+ moyenne_imaginaire2)) et phase = ATAN(moyenne_imaginaire / moyenne_réel).

 

Méthode pragmatique validée à l'écoute.

Cette méthode part de deux constats :
Lors de l'écoute en un point donné dans la bulle, la phase est ce quelle est, la moyenne des phases n'existe pas.
Si vous faites entrer la phase, vous pouvez vous retrouver avec 0 dB par annulation, alors que dans la réalité vous avez quelque chose.
Vous devez calculer réel = 10dB/20*COS(phase), et faire une moyenne sur réel.
Puis vous recalculez dB = 20*LOG10(moyenne_réel).

 

La preuve en 2 images :

16 mesures superposées, mesures faites au point d'écoute et autour du point d'écoute dans un rayon de 1 m.

16 mesures superposées

 

2 moyennes. Verte : La méthode mathématique incontestable. Rouge : La méthode pragmatique.
Notez le creux entre 700 et 900 Hz sur la courbe verte, creux qui n'existe pas sur les 16 mesures.
C'est le point qui nous fait dire de ne pas utiliser la moyenne mathématique incontestable, et de faire la moyenne sans tenir compte de la phase.
Reconnaissez que la démonstration en deux images est incontestable !!!

2 moyennes, l'une avec partie réelle et imaginaitre, l'autre avec juste la partie réelle

 

Revenons à la courbe ISO :

Il existe un historique sur les courbes de correction utilisées dans le cinéma.
Il existe plusieurs courbes, avec une translation du point de début de l'atténuation en fonction de la taille de la salle.
Enfin l'aigu est un peu plus atténué au-dessus de 10000 Hz.
Le PDF en anglais "The X-Curve : Its origins and history" écrit par le laboratoire DOLBY explique tout ça.
Il est indiqué dans ce document que plus les dimensions d'une salle sont importantes, plus la mesure en bruit rose dans de grandes salles induit une augmentation apparente des aigus.

 

Je voudrais aussi parler du rendu subjectif d'une telle correction, sur le rendu des graves.
Quelle que soit la correction, le grave est rigoureusement identique à la mesure.
Les contrebasses ont une puissance sonore et une qualité de timbre incomparablement supérieur avec la courbe jaune qu'avec la courbe linéaire.
Si vos enceintes, linéaires, ont un manque subjectif dans les graves, c'est certainement une bonne solution d'amélioration, mais vous devez le vérifier vous-même.
Si vous essayez ma courbe cible, vous renoncerez probablement à votre achat d'un caisson de grave...

 

Courbe ISO et nombre de places :

La courbe ISO a été faite au départ pour les salles de cinéma, ces salles peuvent être plus ou moins grandes.
La courbe ci-dessous contient les variantes en fonction de la taille de la salle, taille exprimée en nombre de personnes.

Variation de la courbe ISO 2969X en fonction de la taille de la pièce

 

La zone plate du grave à 2000 Hz ne change pas, quelle que soit la taille de la pièce.
Le point qui change est l'atténuation entre 2000 Hz et 20000 Hz, avec une atténuation de 6 dB à 20000 Hz pour une salle de 30 places par rapport aux 10 dB d'une salle de 500 places.
Une salle de 30 places est assez proche de notre salon. La courbe n'est pas loin de la courbe pour les salles de moins de 150 m3 proposée plus haut dans le chapitre.
À essayer en pratique.
Chez moi j'ai actuellement 10 dB à 20000 Hz.

Si nous essayons d'évaluer ce que pourrait être la courbe pour un salon de 6 à 10 places, rempli avec la densité d'une salle de cinéma, nous pouvons discuter sur une atténuation entre 4 ou 5 dB.
En aucun cas cela ne peut être 0 dB comme le prétendaient certains audiophiles, les avis évoluent au fil des années.

En poursuivant mes réflexions, je suis maintenant certain qu'il n'y a pas à discuter longtemps.
Ma référence acoustique est celle du concert acoustique, écouté dans une salle de 500 à 2000 personnes. C'est ce que je veux obtenir chez moi.
Donc je règle, chez moi dans ma pièce, le rendu des aigus pour obtenir la même atténuation des aigus que celle obtenue dans une grande salle, -10 dB à 20000 Hz.
Nous pouvons discuter entre -9 et -11 dB, et honnêtement c'est à peu près la précision du réglage en pratique.
Ce qui me fait plaisir, c'est de lire sur les forums, maintenant en 2015, qu'il y a des audiophiles mélomanes qui partagent cette valeur de réglage.

 

Courbe ISO et cinéma :

Au hasard des discussions sur les forums, je suis tombé sur ce lien dans le site Lafont Audio, acoustique et design.
La notion de la taille de la salle est évoquée, avec des corrections différentes dans les petites salles.
Il existe la small room X curve que je vais essayer de trouver.
La taille de la salle s'exprime en m3 et non pas en m2.
Ce n'est pas important si votre plafond est plat et à une hauteur standard, cela le devient si votre salon donne sur une mezzanine avec un plafond en pente qui est vite très haut.
Il est écrit que la courbe se mesure avec 4 ou 8 micros multiplexés, ce dont j'ai parlé un peu plus haut avec ma bulle.

Une autre source sur un forum donnait des valeurs plus précises.
Dans une pièce de 15 m2 à 3 m de distance, la correction n'aurait pas de sens. -1 dB à 10 kHz, -2 dB à 15 kHz.
Dans une pièce de 70 m2 à 6 ou 7 m de distance, réponse plate de 150 ou 200 à 2000 Hz, -3 à -4 dB à 8000 Hz, -6 à -7 dB à 16000 Hz, le grave en dessous de 150 Hz remontera légèrement (+1 ou +2 dB à 40 Hz ?).
Dans une salle de 400 m2 à 10 ou 12 m de distance, réponse plate de 150 ou 200 à 2000 Hz, -5 à -6 dB à 8000 Hz, -10 dB à 16000 Hz, et +4 dB sur le grave à 40 Hz.

 

Vous avez essayé cette solution :

Vos avis étaient les bienvenus, aujourd'hui ils ont moins d'intérêt, ma courbe cible, droite du grave à l'aigu mais pas horizontale, est meilleure.
L'avis d'Olivier.

Bonjour,
Je vous livre ici une contribution qui s'impose quand on fait une copie même partielle d'un article de presse de la revue "LED".
Libre à vous/nous d'y faire référence, si comme je le pense, il y a un intérêt certain à le faire.

L'article en question intitulé "Et si on parlait SURROUND..." paru dans le numéro LED 186 de novembre / décembre 2004 je crois, explique très bien pourquoi il faut que la courbe de transmission (rendu) sonore au point d'écoute fléchisse d'environ -3 dB/octave à partir de 2 kHz.

image979.jpg

 

C'est la norme ISO/SMPTE utilisée par les professionnels/ingénieurs du son pour régler les systèmes des salles de cinéma, qui n'est pas sans rappeler celle de l'ISO 2969 X.
Et tout ça avec des enceintes dont la courbe de réponse est rigoureusement droite.
Sauf que je ne connais personne disposant d'une chambre sourde (dite anéchoïde) chez lui, pour vérifier qu'elle est droite.

Qu'il s'agisse de surround ou de stéréo, d'une salle de concert/cinéma ou du salon familial, ne change pas fondamentalement le problème à mon avis.
Certes on ne peut comparer ni les dimensions ni l'isolation phonique d'une salle de concert/cinéma avec notre salon, mais au moins une chose est commune à ces deux situations, nos oreilles.
Et je suis d'accord avec vous quand vous dites qu'il faut se "ré-étalonner" de temps en temps dans un lieu spécialement étudié pour.
Au moins on espère qu'il l'est par des professionnels du son...

Mon expérience personnelle va aussi dans ce sens, la preuve en est que trop d'aigu est très désagréable à l'écoute, ce qui se traduit dans la majorité des cas à baisser le son de l'amplificateur.
Du coup, le niveau général n'est plus suffisant pour entendre les basses, qui réclament un certain niveau pour être audibles.

Pour résumer, s'il est nécessaire pour les fabricants d'enceintes hi-fi de mesurer la courbe de réponse de leur dernière évolution XZ++V3 en utilisant pour cela une chambre anéchoïde normalisée, qui a au moins le mérite d'être "identique" pour tous les fabricants, et donc de permettre de "comparer" chaque modèle d'enceinte entre eux (c'est normalement le but).
Il est complètement idiot de reproduire ladite courbe de réponse dans son salon, qui lui n'a rien d'anéchoïde.
En plus, le son est vraiment mauvais quand on fait cette expérience!
D'où l'intérêt d'utiliser la fameuse courbe de la norme ISO 2969 X ou SMPTE, qui ont certainement les mêmes origines, pour tenter de s'approcher chez soi, du son entendu en concert ou au cinéma
C'est sans doute un raisonnement moins farfelu.

J'ai soigneusement conservé le PDF de cet article.
Je ne peux pas mettre un lien direct, par contre je peux vous dire que le fichier s'appelle "surround.pdf" et qu'il est rangé dans le répertoire "pdf" de mon site.
Les plus malins d'entre vous sauront faire bon usage de ces informations.

Les courbes indiquées en début de chapitre montrent une pente d'atténuation de 3 dB/octave au-dessus de 2000 Hz, l'article parle de pente de 2 à 4 dB/octave toujours au-dessus de 2000 Hz.
Je n'ai pas testé la pente à 4 dB/octave, j'ai éliminé le 2 dB/octave.

L'article parle surtout des systèmes multicanaux du home cinéma.
J'ai eu une pensée émue en lisant le terme Nicam stéréo totalement passé aux oubliettes aujourd'hui.
Pour ce qui nous concerne dans ce chapitre, la mesure doit se faire à 85 dB, avec le micro placé dans la zone d'écoute, en laissant le signal quelques secondes le temps que les ondes stationnaires s'établissent.
C'est ce que j'avais fait intuitivement, il est réconfortant de le voir écrit dans un article qui reste, surtout lorsqu'on lit le contraire sur les forums, avec des critiques acerbes quant à la maîtrise de la méthode.
P36 de l'article, colonne de gauche et centrale.
Il est dit explicitement que l'égaliseur est un moyen d'arriver à obtenir la courbe souhaitée.

Enfin je dois signaler un gros bug : "N'espérez pas passer du 20 Hz dans une pièce dont la diagonale est inférieure à 8.58 m".
La raison est que la demi-longueur d'onde à 20 Hz est 343.4 / 20 / 2 = 8.58 m.
Si cette affirmation était vraie, vous n'auriez jamais de graves avec un casque, or, que je sache, un casque descend très bien dans les graves...

 

Liens :

http://lafontaudio.com/courbe-X.htm : L'avis de la société Lafont Audio sur la courbe ISO 2969X.

 

L'avis d'un musicien amateur :

Les avis de FM, sur le chapitre la courbe ISO 2969X et Bruel & Kjear, sur la fabrication des CD au niveau de la prise de son, sur la bonne conception d'une enceinte.

 

1er email :

Bonsoir,

En me replongeant dans les vieux délices du TQWT, j'en ai réalisé une paire à base de SIARE 21 CPR3 il y a une vingtaine d'années, et j'ai actuellement une paire de B139 qui s'ennuie, j'ai visité un peu votre site, et je suis tombé sur votre page ISO 2969 X qui a provoqué un petit flash-back chez moi, vu que j'ai été confronté aux mêmes problèmes...
Sauf que l'explication, et donc la solution, est venue d'où je ne l'attendais pas.
Donc, comme vous m'avez tout aussi passionné que je l'étais, je me dis que si je peux vous apporter mes quelques modestes lumières sur le sujet...
En tout cas, à cette époque, j'aurais aimé qu'on m'en apporte .
Au mieux ça alimentera peut-être votre réflexion et au pire, vous aurez perdu 10 s le temps de mettre le message à la corbeille.

Pour camper le décor en 2 coups de crayon :

  • Ce qu'on nous dit c'est que la hi-fi c'est écouter le concert chez soi.
  • Malgré la meilleure bonne volonté (celle du portefeuille et de l'épouse aussi accessoirement), ça ne sonne jamais pareil qu'en vrai.
    Il y a toujours quelque chose en trop dans la musique reproduite.

En réalité, le problème du mélomane audiophile vient du fait qu'il ne sait pas comment est réalisé le disque qu'il écoute, ou ce qui se passe réellement lorsque lui-même enregistre quelque chose en live.
Le schéma est classique : puisque dans le commerce, on ne trouve rien qui colle vraiment à notre quête du saint Graal, on va construire notre chaîne nous-mêmes (même pas peur).
En réalité, si le constat est juste, C'EST SUR LA CAUSE QU'IL Y A UN MALENTENDU.
Et c'est en faisant de la musique (une autre de mes marottes) et en approfondissant les chapitres, enregistrements, mixages, masterings que l'explication est venue.
En effet, le présupposé, c'est que l'ingénieur du son est un type super bienveillant qui ne trafique pas le son pour les gentils audiophiles que nous sommes, et que nous allons pouvoir écouter la vérité avec un fil droit et un peu de gain.
HÉLAS !!!! Ce n'est pas le monde des bisounours...

Un ingénieur du son, c'est quelqu'un qui manie l'égalisation, la compression avec une maestria consommée.
Bref à l'arrivée, le son est tout sauf naturel.
Tout est voulu et a pour objectif ... de produire une sensation subjective, tout ça sur des bases de psycho acoustique.
Quelques détails croustillants, histoire de mieux comprendre.

Quand on perçoit trop d'aigus, c'est parce qu'il y en a plus.
Soit parce que l'ingénieur du son a mis de la réverbération, qui augmente la brillance naturelle du son, soit parce qu'il a "poussé" l'aigu sur une piste.
La réverbération est utilisée pour augmenter l'impression d'espace et aussi pour éloigner subjectivement les arrière-plans.
En effet, l'enregistrement à deux micros qui capte l'atténuation de l'aigu liée à l'éloignement ramène la réverbération du lieu d'enregistrement de façon disproportionnée, contrairement à notre oreille qui la filtre naturellement.
Pour pallier ce phénomène, on enregistre en multimicro.
Sauf que là exit l'atténuation de l'aigu pour les arrière-plans (l'ingénieur du son va se fendre d'une petite correction pour aider, mais ce n'est pas pareil).
Et pour recréer un avant plan, on va booster un peu ses aigus.
Et pour finir, histoire de lier tout ça, on va mettre une petite réverbe qui va nous recréer du volume...
Et tout ça n'est qu'une fraction de ce qui se passe avec le signal.
Croyez-moi, ça marche (j'ai fini par appliquer les recettes sur mes propres mixages), et il n'y a pas vraiment d'autre possibilité.

Donc pour résumer, si vous entendez trop d'aigu, c'est parce que ce que l'ingénieur du son a fait pour que le disque soit agréable à écouter d'après lui donne cette impression (en partant du principe que votre système est bon à la base).
Pour le bas médium et le grave, les choses sont un peu différentes.
Si cela vous intéresse, je pourrai vous en dire deux mots lors d'un autre message.
En conclusion, tout ce que nous (audiophiles) pouvons faire, c'est :

  • 1) Veiller à ce que l'écoute soit toujours agréable.
  • 2) Veiller à ce que 2 disques différents sonnent différemment.
  • 3) Des différences d'un morceau à l'autre sur un disque soient perceptibles.
  • 4) Veiller à entendre les spécificités des instruments (un son tube pour un HAMMOND B3 par exemple ...)

Voilà, en espérant que le fruit de ma petite expérience apportera un peu d'eau à votre moulin et que le fait que le père Noël audiophile n'existe pas ne vous poussera pas à vous suicider, je suis prêt à vous donner quelques éléments complémentaires si vous le souhaitez.

Cordialement,
FM

 

2e email :

Ainsi que vous l'écrivez ailleurs dans le site, il ne faut pas hésiter à prendre du matériel dit de "sono" (plus exactement de celui qu'on trouve dans les studios).
Vous utilisez un égaliseur BERINGER, beaucoup d'audiophiles seraient surpris de ce qui sort d'une petite mixette 4 canaux de la même marque avec une paire d'enceintes actives (des petites PHILIPS 541 par exemple, qu'on retrouvait parfois comme petite écoute dans certains studios).
Accessoirement, je vous suis totalement lorsque vous dites que les marchands de hi-fi nous prennent pour des pigeons.
Au moins, avec du matériel "pro" on en a pour son argent.

Pour en revenir aux courbes, le problème, d'après ce que j'ai pu en juger ces dernières années en "bricolant" un peu de musique (merci aux progrès de l'informatique musicale et du home studio), concerne surtout la réverbération qui est utilisée systématiquement.
Il s'agit d'un effet électronique qui est, hélas, indispensable.
Prononcée sur une voix ou un instrument solo sans lesquels ça ne pourrait jamais "sonner", moins sur un ensemble symphonique.
Moins bon est le chanteur, et plus il bénéficiera de l'effet.
Pour que ça soit plus marrant, on en utilisera une deuxième (réglée différemment) pour "reculer" l'arrière-plan qu'on construit et recréer l'effet de profondeur.
À l'arrivée, il ne faut pas s'étonner d'un petit effet de "soupe" dans le médium.
Mais encore une fois, c'est un mal nécessaire, car sinon, l'enregistrement ne présenterait aucun intérêt musical et acoustique.
Comme le disait un ingénieur du son que vous avez cité, ils abattent un certain travail pour essayer de rendre un enregistrement intéressant.
Après, il y a les bons et les moins bons, sachant que là aussi, le mieux peut être l'ennemi du bien.
Vu l'atténuation naturelle de l'aigu avec la distance, votre démarche avec la courbe et la compensation au point d'écoute est tout ce qu'il y a de plus fondée.
Après, c'est au feeling (Cf, règle No 1). 

Histoire d'enfoncer le clou, âmes audiophiles pures s'abstenir parce qu'on va parler du malin, on ne peut pas passer sous silence un point qui fait bondir les audiophiles purs et durs :
La compression, systématique elle aussi, mais (toujours hélas) tout aussi indispensable que la précédente.
Je ne sais pas trop comment on procède pour les orchestres symphoniques, mais pour ce qui est de la pop rock, voilà en gros ce qui se passe :
Les micros n'étant pas l'oreille avec toutes ses capacités de traitement du signal (l'homme était un chasseur autrefois et devait localiser ses proies et le danger, et ça a laissé des traces objectivées en psycho acoustique), il va falloir "aider" un peu pour que toute la beauté et la subtilité de ce que font les interprètes puissent être perçues par l'auditeur.
Au niveau du chant, il est indispensable de compresser une voix.
En effet, les sauts de dynamique non souhaités sont trop marqués (beaucoup plus que ce qui serait perçu en vrai), surtout lors des prises rapprochées.
La compression permet de limiter les dégâts.
Bien mises en œuvre, les envolées lyriques restent perceptibles.

Pour ce qui est de notre orchestre dont la dynamique (75 personnes) est de l'ordre de 75 dB, tout va bien lorsqu'il s'exprime au studio ou dans une salle de concert (bruit de fond 20dB).
On monte à 95 ou 100 dB à un mètre, pas de problème à la position d'écoute.
À la maison, c'est différent : 40 dB environ de bruit de fond.
Si on ajoute nos 75 dB, on arrive à 115dB, juste en deçà du seuil de la douleur, à supposer qu'on veuille (et que le matériel le permette) écouter à niveau réaliste, sans parler des dégâts auditifs lorsque l'écoute se prolonge au-delà de quelques minutes par jour à ce niveau (admettons une perte de 3 à 5 dB jusqu'à la position d'écoute).
Le seuil de danger est d'environ 85 dB (Cf, http://www.adapeda85.fr/uploads/ecoute%20ton%20oreille.pdf).
Pour faire court, en conditions domestiques, il faut que ça tienne dans 45 à 50 dB, non négociables.
On était obligé de le faire avec le microsillon qui ne pouvait pas passer beaucoup plus, et on le fait pour le CD également.
De toute façon, intervient ici également un paramètre purement marketing : le meilleur, c'est celui qui crie le plus fort.
En pratique, tout est gravé à -0,1 dB.
En musique non symphonique, on en profite pour "maximiser" le son : c'est une compression complexe visant à augmenter le niveau de signal moyen, je pourrai vous en reparler à l'occasion.
Enfin, last but not least, les prises de son rapprochées altèrent la couleur sonore (effet "loudness", comme les speakers de radio).
Les bons ingénieurs du son savent placer leurs micros ...

Pour résumer :

  • Dans le grave et l'extrême grave, on n'a pas trop de problèmes du côté des disques, c'est surtout au niveau du matériel d'écoute que tout se joue.
  • Dans le médium et le haut médium, on subit le traitement du signal voulu par l'ingénieur du son, notamment la réverbération qui vient "brouiller" le message.
  • Dans l'aigu, on subit le traitement (égalisation) et la prise de son rapprochée.

L'égalisation selon la courbe ISO rentre tout à fait dans la compensation du c.
En revanche, le médium se transforme de toute façon en "merdium", car il est, hélas, impossible d'annihiler les effets d'une réverbération.
Par expérience, je dirais :

  • Qu'une chaîne avec un bon amortissement dans le médium limite les dégâts en évitant d'ajouter ses propres artefacts.
  • Qu'un élément à tubes dans la chaîne permet cet amortissement et nous gratifie d'un spectre de distorsion favorable sur ce point
    Les ingénieurs du son aiment bien introduire un élément à tube également, préampli micro pour les micros à condensateur notamment.
  • Qu'un bon et vrai grave éclaircit naturellement le médium.

A l'arrivée, ma conception de la chaîne (pas encore tout à fait mis en œuvre, mais ça se fera un jour) c'est :

  • Un haut-parleur de base, large bande, chargé de reproduire ce à quoi nous sommes les plus sensibles : la voix 80-100 Hz minimum jusqu'à au moins 4500 Hz, ce qui permet d'avoir la dernière note du piccolo, mais surtout les 2 premières harmoniques de la plus haute note d'une soprano (notez que ça respecte la loi des 400000).
    Pour le haut, filtrage 6dB/octave.
    Et tant qu'à faire, mettre le filtre côté ampli, comme on travaille avec un large bande, on peut filtrer à 6dB en haut.
    Côté grave, filtre actif obligatoire à pente raide pour la tenue en puissance.
    Candidat : un 13 cm me semblerait tout indiqué, avec un 17 cm ça devrait passer aussi, surtout avec une membrane en papier et avec une ogive centrale.
     
  • En tweeter, ce que j'ai entendu de mieux, c'était du ruban, mais à 4500Hz, il faudrait filtrer à 18dB.
    En deux, un bon dôme tissu (j'ai été élevé au AUDAX HD12x9), DYNAUDIO par exemple, qui résonne bas, a un bon amortissement, filtré à 6 et qui est une valeur sûre (plus de 20 ans déjà).
    En trois un "vieux" AUDAX TW 51, mais il faut le travailler comme le ruban. (c'est ce que je compte utiliser pour valider le concept).
     
  • En grave, j'ai une paire de caissons YAMAHA NS W1 avec un 25 cm papier (oui, je trouve aussi qu'il faut utiliser 2 caissons) pour commencer.
    Bien sûr, si on a les moyens, des 38 cm avec une membrane en papier, c'est mieux en Bass reflex.
    Sinon des B139 en Bass reflex ou en ligne acoustique 1/4 d'onde.
    Si vous avez des noms de candidats pour le milieu, je suis preneur.
    Pour ce qui est de la charge, vu les fréquences graves et le filtrage, le baffle plan est envisageable.

Actuellement, j'ai une paire de PHILIPS 541 (17cm papier, enceinte active, utilisée parfois en monitoring dans les années 70), alimenté par la partie préampli d'un Scott 436, et mes caissons Yamaha.
J'écoutais encore récemment des ELECTRA 1028 avec un gros MARANTZ chez un revendeur, il n'y a pas photo sur mes 4 critères, sans parler du prix.
En solution raisonnable du commerce, les GENELEC (moniteurs de proximité actifs) sont hautement recommandables surtout si on prend le caisson de grave qui va bien.

En source, je me sers d'un antique DENON DCD 1500 II (ah les Burr Brown) avec une modification de mon cru : le lecteur étant lourd (8kg environ) avec un capot amorti, il est posé sur 3 ressorts (comme une contre platine suspendue), ça change tout.
Ce qui était vrai au temps du microsillon (échelle millimétrique) l'est encore plus avec le CD (échelle micrométrique).
Je vous suggère de poser une fine plaque de verre sur le capot de votre PHILIPS pour amortir et alourdir et de le poser sur 3 ressorts également.
Ça ne coûte pas cher et ça peut rapporter gros.
Comme il a un âge vénérable, je vais le remplacer par un couple disque dur multimédia / convertisseur externe prochainement, suite à des essais que j'ai faits, je ne serai pas perdant au change.

Bon, il se fait tard, ça sera tout pour aujourd'hui.
Au plaisir de vous lire.
FM.

 

Un grand merci pour votre visite. --- Retour direct en haut de la page ---

Logo Dôme acoustique

Un grand-père facétieux disait à ses petits enfants que le grand truc blanc tout en haut du Puy-de-Dôme était un thermomètre géant.
Quand il deviendra tout rouge il faudra vite se sauver, parce que le volcan va se réveiller !!!

Malgré les apparences, ce site internet n'est que celui d'un amateur passionné auvergnat.
"Amateur" doit être compris dans le sens "non professionnel", dans l'aspect financier de l'approche : Je ne vis pas des revenus de cette passion.
"Amateur" doit être compris dans le sens ou rien ne m'oblige à vous répondre, si vous êtes désagréable. C'est rare, mais le cas arrive de temps en temps.

Il y a un savoir-vivre élémentaire qui consiste à demander l'autorisation avant de reprendre tout ou partie de ce qui est écrit dans ce chapitre.
Je vous donnerai l'accord, demandez-le simplement pour être en règle. Sont exclues les demandes extravagantes, les demandes de copie de ma base de données haut-parleurs.


Contrôle de validation W3C du code HTML 5 de la page, copiez l'adresse de la page avant de cliquer sur le lien.
Contrôle de validation W3C des CSS de la page, copiez l'adresse de la page avant de cliquer sur le lien.
Test "responsive" en simulant des écrans de smartphone de résolution différentes.
Ce sont trois outils de contrôle pour le webmaster du site Dôme Acoustique, c'est inutile pour les utilisateurs.
Avoir le lien dans chaque page est plus simple pour les retrouver.